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Réponses

• Par miaou3321 (Fille / 2008 / Suisse, Genève) le 25 octobre 2024 à 16:57

  Oula… c’est délicat
  T’aimes écrire quoi quel genre de choses ?
  Science-fiction ? Thriller ? Fantastique?

• Par Yuval (Garçon / 2010 / Suisse, Vaud) le 25 octobre 2024 à 21:38

  Un peu de tout, si tu as déjà un sujet en tête envoie le moi mais je suis pas compliqué tkt😉​

• Par NIUUYEAGORE (2010 / Suisse, Fribourg) le 25 octobre 2024 à 21:41

  Essaye d’écrire des choses qui ont un réel impacte sur tes lecteurs.Par exemple si tu veux un récit d’horreur: le tueur à la corde, si tu veux un récit triste, nostalgique, mélancolique: Dernier moment de clairté avant une longue descente dans la folie,….

• Par NIUUYEAGORE (2010 / Suisse, Fribourg) le 25 octobre 2024 à 21:42

  Si tu veux je peux t’envoyer ma rédaction que j’ai fais l’année dernière et t’en fait se que tu veux……

• Par Yuval (Garçon / 2010 / Suisse, Vaud) le 26 octobre 2024 à 10:24

  Si tu veux je peux t’envoyer ma rédaction que j’ai fais l’année dernière et t’en fait se que tu veux……

  Oui je veux bien merci pour tes conseils 🙏

• Par miaou3321 (Fille / 2008 / Suisse, Genève) le 28 octobre 2024 à 18:02

  Tu peux écrire un thriller, sur un homme qui tombe petit à petit dans la folie et tue des gens, jsp si c une bonne idée mdr mais ça peut être pas mal si tu écris bien
  En mode, au début, il a juste des idées mais de quelques secondes et au fil du livre il a de plus en plus envie de les mettre à exécutions et à la fin ça peut mal finir en mode il tue vrm un personnage auquel les lecteurs ont pu s’attacher mais se fait quand mm mettre en prison ? Ou pleine de mort selon ou et quand ça se passe ? Ou un suicide à la fin car il regrette ce qu’il a fait quand il est lucide jsp….
  Mais faudrai vrm avoir le suspens tout le long jusqu’aux dernières pages

• Par miaou3321 (Fille / 2008 / Suisse, Genève) le 28 octobre 2024 à 18:02

  Tu peux écrire un thriller, sur un homme qui tombe petit à petit dans la folie et tue des gens, jsp si c une bonne idée mdr mais ça peut être pas mal si tu écris bien En mode, au début, il a juste des idées mais de quelques secondes et au fil du livre il a de plus en plus envie de les mettre à exécutions et à la fin ça peut mal finir en mode il tue vrm un personnage auquel les lecteurs ont pu s’attacher mais se fait quand mm mettre en prison ? Ou pleine de mort selon ou et quand ça se passe ? Ou un suicide à la fin car il regrette ce qu’il a fait quand il est lucide jsp…. Mais faudrai vrm avoir le suspens tout le long jusqu’aux dernières pages

  J’espère que ça t’aide mais c’est que une idée hein 😂😂😅

• Par Yuval (Garçon / 2010 / Suisse, Vaud) le 29 octobre 2024 à 07:21

  Tu peux écrire un thriller, sur un homme qui tombe petit à petit dans la folie et tue des gens, jsp si c une bonne idée mdr mais ça peut être pas mal si tu écris bien En mode, au début, il a juste des idées mais de quelques secondes et au fil du livre il a de plus en plus envie de les mettre à exécutions et à la fin ça peut mal finir en mode il tue vrm un personnage auquel les lecteurs ont pu s’attacher mais se fait quand mm mettre en prison ? Ou pleine de mort selon ou et quand ça se passe ? Ou un suicide à la fin car il regrette ce qu’il a fait quand il est lucide jsp…. Mais faudrai vrm avoir le suspens tout le long jusqu’aux dernières pages

  Hello,
  Merci beaucoup pour ton idée,ça peut donner quelque chose de vrm sympa(sympa...on se comprend😏), juste une question par rapport au personnage principal, tu penses à une personne un peu bipolaire genre Jekyll&Mr Hyde ou une personne qui devient complétement folle à la fin ?
  Encore merci !
  bonne journée,
  Yuval

• Par NIUUYEAGORE (2010 / Suisse, Fribourg) le 30 octobre 2024 à 12:25

  salut désolé du retard mais voici ma rédaction:

  Dernier moment de clarté avant une nuit sans étoiles

  J'entame cette année ma 45ème année de carrière dans la police. C'est ma dernière. Contrairement à ce que l’on dit, je n’aime pas mon métier. Toute cette violence... J’habite dans l'Iowa, à Arcade city. Quand je suis arrivé pour ma formation il y a maintenant 50 ans, on m’a vanté cette ville comme étant calme. Je n’aurais jamais imaginé de plus gros mensonge que celui-ci. Cette ville est un calvaire. J’ai été traumatisé par absolument toutes les affaires que l’ancien commissaire Jim Gordon m’a refilées. Et là, je me retrouve seul dans mon bureau, fumant mes Marlboro rouges qui me détruisent la santé. J'attends une nouvelle enquête, sachant pertinemment que celle-ci m’ébranlera autant que les précédentes.

  Soudain, le téléphone sonne. Je me précipite pour répondre, toujours perdu dans mes pensées. Une femme me parle à travers celui-ci, me communiquant que son fils a disparu. J’écoute son récit et lui demande si elle sait où son fils pourrait avoir disparu, elle déclare que son sac a été retrouvé le jour-même à Toonsquare, une banlieue de la métropole. Je m’y précipite immédiatement.

  Effectivement, ce n’est pas la première fois que l’on me signale une disparition dans ce quartier. Malheureusement pour la mère, je n’ai jamais retrouvé les enfants kidnappés. Une fois sur les lieux, je ne trouve qu’une couche pour SDF en carton épais. Je remarque néanmoins un ticket collé sur ce carton. En m’approchant d’un peu plus près, je réussis à distinguer l’inscription. Il est écrit : “Woodstock 99”. Une voix dans ma tête pense fortement : “ Encore un hippie de merde”. Puis je retourne à mes recherches. Je balaye du regard les

  environs avant de fouiller les poubelles. Je perds espoir. Puis je saisis la dernière poubelle. Lors d’un ultime essai pour trouver un indice, je tombe sur un pied humain à peine dissimulé. Je vomis instantanément avant de contacter mon meilleur ami Chris. Chris est blond aux yeux bleus et c’est assurément la crème des médecins légistes. Une fois arrivé, il prend en charge le cadavre.

  Le lendemain, un article sur la dépouille sort dans “Le quotidien d’Arcade”. Quand je lis l’article, je me dis que de nos jours la presse en sait beaucoup trop ! À peine quelques secondes après cette lecture, Chris toque à la porte et me lance le dossier de Arthur Hope, quinze ans. Il a réussi à retrouver l’identité du mort. Il me dit que l’adolescent est décédé deux jours plus tôt, le 8 novembre 2007, de suffocation par strangulation. J’essaie de relier les éléments : un mort identifié, peut-être plus car ce mode opératoire est connu chez les tueurs en série, le macchabée a été trouvé à Toonsquare et... et c’est tout. Il faut que je me renseigne sur ce quartier avant d’y retourner. J’allume l’ordinateur du commissariat mais je n’arrive pas à me débrouiller avec internet car je suis vieux. Si seulement j’avais écouté le technicien quand il est venu le réparer... Je vais finalement me renseigner en personne, je crois que c’est mieux.

  Sur place, j’interroge un passant en demandant des informations sur ce coin de la ville. Il me dit que Don Rosa, un auteur de comics, a séjourné ici mais que sinon c’est un quartier tout à fait normal. Après quelques questions supplémentaires, je réussis à lui faire cracher une information indispensable : une légende urbaine raconte qu’un tueur habiterait ici et qu’il tuerait par simple plaisir. Il ajoute qu’on le nomme “le Sinope de l’Iowa”. J’ai enfin un indice sur le tueur. Comme me racontait mon grand-père, chaque légende s’inspire de faits réels. En voyant que je prends des notes sur cette légende, le passant me dit que ce n’est qu’une légende inventée par les parents pour faire peur à leurs enfants.

  Je retourne au commissariat pour élaborer un rapport. Je croise mon fils René et lui demande de chercher sur le net le nom du présumé tueur. Il s’exécute. René me dit que Sinope est le nom du “Gourou” le plus connu de l’une des sectes hippies qui a le plus mal fini. Je fais immédiatement le rapprochement avec le SDF dont j’avais vu la couchette précédemment. Il avait un ticket pour Woodstock, un festival de musique typiquement hippie qui a très mal tourné. Je dois encore y retourner ? Mais s'il était dangereux ? Je prends mon revolver au cas où et pars pour la troisième fois pour ce quartier.

  Quand j’arrive dans la rue bondée, je le repère. Je m’approche. Me voyant arriver, il se lève et court. J’entame alors une course poursuite. Il se trahit en se bloquant dans un cul-de-sac. Sinope sort son canif et me le plante la cuisse. Aveuglé par les larmes, je retire le couteau de ma jambe et le menotte. J’ai toujours des menottes. C’est mon professeur à l’école de police qui m’a appris ça. Je l’emmène dans la voiture. Il crie. Il pleure. Il parle bizarrement. Il faut que je me fasse un garrot et vite car je perds beaucoup de sang. Une fois le garrot effectué, nous retournons au poste de police pour un interrogatoire. J’ai toujours adoré les interrogatoires.

  Tout en m’asseyant face à lui, je commence l’interrogatoire :

  -Bonjour Monsieur Sinope.

  -Je m’appelle pas Sinope. Moi appelé Christophe ! Maman ? dit-il dans un état de folie psychédélique.

  -Je...Je aime Sinope. Beau nom. Très beau...

  -D’accord, Christophe, dis-je, un peu gêné.

  -Papa me frappe, maman est où ?

  - D’accord. Mais encore ?

  À ce moment-là, il se tait.

  Grâce à son nom et à ces informations personnelles, je tombe sur une personne sans casier judiciaire mais j’apprends aussi qu’il a trois tentatives de suicide à son actif. Pourquoi ? Comment ? Ces questions trainent dans ma tête au moment où je décide à mener un deuxième interrogatoire. Cette fois, c’est beaucoup plus compliqué que la première fois. Il ne peut plus parler. Au bout de cinq minutes dans un silence glacial, il me donne son ticket de Woodstock où il est écrit : “Dernier moment de clarté avant une nuit sans étoiles”. Je comprends à ce moment-là que ce billet est son seul rattachement à la vie, sa seule raison d’exister. Ce ticket, qu’il n’a sûrement jamais quitté, dans les moments difficiles, dans les épreuves de sa vie. La valeur sentimentale de ce ticket est bien supérieure à tout ce que l’on peut imaginer. Je tiens dans ma main un bout de papier mais aussi la vie d’un homme déchiré par sa maladie. Je ne sais pas quelle maladie, mais je suis sûr qu’il est atteint de démence.

  Après avoir appelé un psychologue, je retourne dans mon bureau. Seul, dans le noir, je réfléchis. Cigarette au bec, je repense à l’affaire. Ce sans domicile fixe serait-il fou ? Pourquoi a-t-il commis ces crimes horribles ? Comme à mon habitude je vais me chercher un café, le sixième de la journée. Peu importe, je devrai certainement rester au poste toute la nuit. Le psychologue m’interrompt dans mes pensées et me rapporte que le criminel est atteint d’une psychose provoquée par les drogues et qu’il est au stade de la maladie le plus avancé. Le stade final : la mort. Celle-ci est précoce en raison d’un traumatisme, me dévoile mon collègue. En effet, il a pris des drogues dès son plus jeune âge.

  J’apprends également que le père de Sinope le frappait et que sa mère a laissé tomber quand elle a su que son fils se droguait. C’est triste et ça me fend le cœur mais pour l’instant il me faut juste des aveux pour clore l’affaire ! Je demande au psychologue de me prévenir quand son patient sera à nouveau capable de parler. Finalement, je décide de retourner dans sa cellule et d’attendre une lucarne de lucidité. Une vingtaine de minutes plus tard, il me fait divers signes montrant qu’il a bel et bien tuer plusieurs personnes. Il me transmet ensuite des photos. En regardant de plus près, je vois des hommes et des femmes. Je lui demande si ce sont les victimes mais malheureusement il n’a pas le temps de répondre car il repart dans une période de démence, cette fois ultime car il meurt trente seconde plus tard dans mes bras. Il a 42 ans et est mort des spasmes meurtriers liés à sa folie. Son dernier bon moment a été sans aucun doute Woodstock. Je retourne dans mon bureau et éclate en sanglots.

  Sinope tuait. Moitié enragé, moitié fou, il se déchainait sur de pauvres gens. Le dégoût de lui-même et ses tendances suicidaires devaient jouer un rôle important dans ses meurtres horribles et glauques. Je me surprends, je ressens pourtant presque de la sympathie pour ce tueur sanguinaire. Il est 7 heures du matin et Arcade city se réveille. Les habitants ne se doute pas un instant qu’un assassin a été arrêté dans leur ville. Quant à moi, je suis rentré chez moi et j’ai dormi pendant trois heures avant de retourner travailler. Métier à la con !!!

• Par Yuval (Garçon / 2010 / Suisse, Vaud) le 30 octobre 2024 à 17:53

  salut désolé du retard mais voici ma rédaction: Dernier moment de clarté avant une nuit sans étoiles J'entame cette année ma 45ème année de carrière dans la police. C'est ma dernière. Contrairement à ce que l’on dit, je n’aime pas mon métier. Toute cette violence... J’habite dans l'Iowa, à Arcade city. Quand je suis arrivé pour ma formation il y a maintenant 50 ans, on m’a vanté cette ville comme étant calme. Je n’aurais jamais imaginé de plus gros mensonge que celui-ci. Cette ville est un calvaire. J’ai été traumatisé par absolument toutes les affaires que l’ancien commissaire Jim Gordon m’a refilées. Et là, je me retrouve seul dans mon bureau, fumant mes Marlboro rouges qui me détruisent la santé. J'attends une nouvelle enquête, sachant pertinemment que celle-ci m’ébranlera autant que les précédentes. Soudain, le téléphone sonne. Je me précipite pour répondre, toujours perdu dans mes pensées. Une femme me parle à travers celui-ci, me communiquant que son fils a disparu. J’écoute son récit et lui demande si elle sait où son fils pourrait avoir disparu, elle déclare que son sac a été retrouvé le jour-même à Toonsquare, une banlieue de la métropole. Je m’y précipite immédiatement. Effectivement, ce n’est pas la première fois que l’on me signale une disparition dans ce quartier. Malheureusement pour la mère, je n’ai jamais retrouvé les enfants kidnappés. Une fois sur les lieux, je ne trouve qu’une couche pour SDF en carton épais. Je remarque néanmoins un ticket collé sur ce carton. En m’approchant d’un peu plus près, je réussis à distinguer l’inscription. Il est écrit : “Woodstock 99”. Une voix dans ma tête pense fortement : “ Encore un hippie de merde”. Puis je retourne à mes recherches. Je balaye du regard les environs avant de fouiller les poubelles. Je perds espoir. Puis je saisis la dernière poubelle. Lors d’un ultime essai pour trouver un indice, je tombe sur un pied humain à peine dissimulé. Je vomis instantanément avant de contacter mon meilleur ami Chris. Chris est blond aux yeux bleus et c’est assurément la crème des médecins légistes. Une fois arrivé, il prend en charge le cadavre. Le lendemain, un article sur la dépouille sort dans “Le quotidien d’Arcade”. Quand je lis l’article, je me dis que de nos jours la presse en sait beaucoup trop ! À peine quelques secondes après cette lecture, Chris toque à la porte et me lance le dossier de Arthur Hope, quinze ans. Il a réussi à retrouver l’identité du mort. Il me dit que l’adolescent est décédé deux jours plus tôt, le 8 novembre 2007, de suffocation par strangulation. J’essaie de relier les éléments : un mort identifié, peut-être plus car ce mode opératoire est connu chez les tueurs en série, le macchabée a été trouvé à Toonsquare et... et c’est tout. Il faut que je me renseigne sur ce quartier avant d’y retourner. J’allume l’ordinateur du commissariat mais je n’arrive pas à me débrouiller avec internet car je suis vieux. Si seulement j’avais écouté le technicien quand il est venu le réparer... Je vais finalement me renseigner en personne, je crois que c’est mieux. Sur place, j’interroge un passant en demandant des informations sur ce coin de la ville. Il me dit que Don Rosa, un auteur de comics, a séjourné ici mais que sinon c’est un quartier tout à fait normal. Après quelques questions supplémentaires, je réussis à lui faire cracher une information indispensable : une légende urbaine raconte qu’un tueur habiterait ici et qu’il tuerait par simple plaisir. Il ajoute qu’on le nomme “le Sinope de l’Iowa”. J’ai enfin un indice sur le tueur. Comme me racontait mon grand-père, chaque légende s’inspire de faits réels. En voyant que je prends des notes sur cette légende, le passant me dit que ce n’est qu’une légende inventée par les parents pour faire peur à leurs enfants. Je retourne au commissariat pour élaborer un rapport. Je croise mon fils René et lui demande de chercher sur le net le nom du présumé tueur. Il s’exécute. René me dit que Sinope est le nom du “Gourou” le plus connu de l’une des sectes hippies qui a le plus mal fini. Je fais immédiatement le rapprochement avec le SDF dont j’avais vu la couchette précédemment. Il avait un ticket pour Woodstock, un festival de musique typiquement hippie qui a très mal tourné. Je dois encore y retourner ? Mais s'il était dangereux ? Je prends mon revolver au cas où et pars pour la troisième fois pour ce quartier. Quand j’arrive dans la rue bondée, je le repère. Je m’approche. Me voyant arriver, il se lève et court. J’entame alors une course poursuite. Il se trahit en se bloquant dans un cul-de-sac. Sinope sort son canif et me le plante la cuisse. Aveuglé par les larmes, je retire le couteau de ma jambe et le menotte. J’ai toujours des menottes. C’est mon professeur à l’école de police qui m’a appris ça. Je l’emmène dans la voiture. Il crie. Il pleure. Il parle bizarrement. Il faut que je me fasse un garrot et vite car je perds beaucoup de sang. Une fois le garrot effectué, nous retournons au poste de police pour un interrogatoire. J’ai toujours adoré les interrogatoires. Tout en m’asseyant face à lui, je commence l’interrogatoire : -Bonjour Monsieur Sinope. -Je m’appelle pas Sinope. Moi appelé Christophe ! Maman ? dit-il dans un état de folie psychédélique. -Je...Je aime Sinope. Beau nom. Très beau... -D’accord, Christophe, dis-je, un peu gêné. -Papa me frappe, maman est où ? - D’accord. Mais encore ? À ce moment-là, il se tait. Grâce à son nom et à ces informations personnelles, je tombe sur une personne sans casier judiciaire mais j’apprends aussi qu’il a trois tentatives de suicide à son actif. Pourquoi ? Comment ? Ces questions trainent dans ma tête au moment où je décide à mener un deuxième interrogatoire. Cette fois, c’est beaucoup plus compliqué que la première fois. Il ne peut plus parler. Au bout de cinq minutes dans un silence glacial, il me donne son ticket de Woodstock où il est écrit : “Dernier moment de clarté avant une nuit sans étoiles”. Je comprends à ce moment-là que ce billet est son seul rattachement à la vie, sa seule raison d’exister. Ce ticket, qu’il n’a sûrement jamais quitté, dans les moments difficiles, dans les épreuves de sa vie. La valeur sentimentale de ce ticket est bien supérieure à tout ce que l’on peut imaginer. Je tiens dans ma main un bout de papier mais aussi la vie d’un homme déchiré par sa maladie. Je ne sais pas quelle maladie, mais je suis sûr qu’il est atteint de démence. Après avoir appelé un psychologue, je retourne dans mon bureau. Seul, dans le noir, je réfléchis. Cigarette au bec, je repense à l’affaire. Ce sans domicile fixe serait-il fou ? Pourquoi a-t-il commis ces crimes horribles ? Comme à mon habitude je vais me chercher un café, le sixième de la journée. Peu importe, je devrai certainement rester au poste toute la nuit. Le psychologue m’interrompt dans mes pensées et me rapporte que le criminel est atteint d’une psychose provoquée par les drogues et qu’il est au stade de la maladie le plus avancé. Le stade final : la mort. Celle-ci est précoce en raison d’un traumatisme, me dévoile mon collègue. En effet, il a pris des drogues dès son plus jeune âge. J’apprends également que le père de Sinope le frappait et que sa mère a laissé tomber quand elle a su que son fils se droguait. C’est triste et ça me fend le cœur mais pour l’instant il me faut juste des aveux pour clore l’affaire ! Je demande au psychologue de me prévenir quand son patient sera à nouveau capable de parler. Finalement, je décide de retourner dans sa cellule et d’attendre une lucarne de lucidité. Une vingtaine de minutes plus tard, il me fait divers signes montrant qu’il a bel et bien tuer plusieurs personnes. Il me transmet ensuite des photos. En regardant de plus près, je vois des hommes et des femmes. Je lui demande si ce sont les victimes mais malheureusement il n’a pas le temps de répondre car il repart dans une période de démence, cette fois ultime car il meurt trente seconde plus tard dans mes bras. Il a 42 ans et est mort des spasmes meurtriers liés à sa folie. Son dernier bon moment a été sans aucun doute Woodstock. Je retourne dans mon bureau et éclate en sanglots. Sinope tuait. Moitié enragé, moitié fou, il se déchainait sur de pauvres gens. Le dégoût de lui-même et ses tendances suicidaires devaient jouer un rôle important dans ses meurtres horribles et glauques. Je me surprends, je ressens pourtant presque de la sympathie pour ce tueur sanguinaire. Il est 7 heures du matin et Arcade city se réveille. Les habitants ne se doute pas un instant qu’un assassin a été arrêté dans leur ville. Quant à moi, je suis rentré chez moi et j’ai dormi pendant trois heures avant de retourner travailler. Métier à la con !!!

  Wow incroyable merci beaucoup !!!
  Tu as beaucoup de talent bravo ! J'aime beaucoup ton style et ta nouvelle est pleine de bonne idées, franchement si c'est vraiment toi qui a écrit ce texte respect👏👏👏

• Par NIUUYEAGORE (2010 / Suisse, Fribourg) le 30 octobre 2024 à 21:41

  merci beaucoup !!!!

• Par miaou3321 (Fille / 2008 / Suisse, Genève) le 30 octobre 2024 à 22:44

  Hello, Merci beaucoup pour ton idée,ça peut donner quelque chose de vrm sympa(sympa...on se comprend😏), juste une question par rapport au personnage principal, tu penses à une personne un peu bipolaire genre Jekyll&Mr Hyde ou une personne qui devient complétement folle à la fin ? Encore merci ! bonne journée, Yuval

  Je pense plus à qqn qui sombre dans la folie
  Après ça peut quand mm être cool si il est bipolaire jsp faut voir
  Et tu mets quelques scènes spicy dedans 😏😏🥵 Nn je rigole mdr
  Mais dcp j’espère que tu pourras faire qqch de sympa, fin j’en suis sûre enft 😂
  Tu me «  l’enverras » hein 😁😁😂

• Par Yuval (Garçon / 2010 / Suisse, Vaud) le 31 octobre 2024 à 16:06

  Je pense plus à qqn qui sombre dans la folie Après ça peut quand mm être cool si il est bipolaire jsp faut voir Et tu mets quelques scènes spicy dedans 😏😏🥵 Nn je rigole mdr Mais dcp j’espère que tu pourras faire qqch de sympa, fin j’en suis sûre enft 😂 Tu me «  l’enverras » hein 😁😁😂

  Ok merci pour tes conseils je vais réfléchir pour les scènes spicy😏😏💦(bon je rigole aussi je suis pas un expert en hentai) mais en tout cas si je finis avant 2050 tkt je te l'enverrais😉

• Par NIUUYEAGORE (2010 / Suisse, Fribourg) le 31 octobre 2024 à 19:03

  A moi aussi pleaseeeeee

• Par Yuval (Garçon / 2010 / Suisse, Vaud) le 31 octobre 2024 à 22:42

  D'acc mais je suis même pas sur de pouvoir écrire quelque chose de bien😅

• Par miaou3321 (Fille / 2008 / Suisse, Genève) le 1 novembre 2024 à 01:14

  D'acc mais je suis même pas sur de pouvoir écrire quelque chose de bien😅

  Je suis sûre que si !!
  Je te ferai un retour 😁😁

• Par NIUUYEAGORE (2010 / Suisse, Fribourg) le 4 novembre 2024 à 00:19

  La même 😀

• Par Yuval (Garçon / 2010 / Suisse, Vaud) le 4 novembre 2024 à 16:33

  Merci mais en tout cas je vous assure rien😅