Lyrics ia

J’ai demandé a une ia de faire un lyrics, votre avis

Verse 1)
Dans un monde où l'amour fait des promesses,
Les cœurs s'enflamment, mais souvent c'est une faiblesse.
Je vois des roses, mais aussi des épines,
Des mots doux murmurés, mais derrière, ça s'illumine.

(Refrain)
L'amour, ironique, un jeu de masques,
On chante des ballades, mais c'est souvent une frasque.
Des regards échangés, mais les cœurs font la grève,
Dans cette danse, dis-moi, qui élève ?

(Verse 2)
Les selfies en couple, tout beau tout frais,
Mais derrière l'écran, c'est la guerre des secrets.
On jure fidélité, mais la tentation est là,
On joue au poker, on mise tout sur le « ça ira ».

(Refrain)
L'amour, ironique, un jeu de masques,
On chante des ballades, mais c'est souvent une frasque.
Des promesses gravées, mais le temps efface,
On s'accroche à l'illusion, mais elle nous dépasse.

(Bridge)
L’amour, c'est un film, avec des fausses scènes,
On applaudit à la fin, mais c’est souvent la peine.
Des serments en l'air, des rires et des pleurs,
On apprend à vivre avec cette douleur.

(Verse 3)
Les cœurs sont des livres, mais on feuillette en vitesse,
On cherche le bonheur, mais parfois c'est la liesse.
Ironie douce-amère, on sourit en cachette,
L'amour nous malmène, mais c'est ça qu'on fête.

(Refrain)
L'amour, ironique, un jeu de masques,
On chante des ballades, mais c'est souvent une frasque.
Des regards échangés, mais les cœurs font la grève,
Dans cette danse, dis-moi, qui élève ?

(Outro)
Alors on continue, malgré les faux-semblants,
L'amour en ironie, c'est notre tourment.
Avec chaque battement, on trace notre chemin,
Car au fond, l’amour, c’est un chemin incertain.

Verse 1)
Dans un monde où l'amour fait des promesses,
Les cœurs s'enflamment, mais souvent c'est une faiblesse.
Je vois des roses, mais aussi des épines,
Des mots doux murmurés, mais derrière, ça s'illumine.

(Refrain)
L'amour, ironique, un jeu de masques,
On chante des ballades, mais c'est souvent une frasque.
Des regards échangés, mais les cœurs font la grève,
Dans cette danse, dis-moi, qui élève ?

(Verse 2)
Les selfies en couple, tout beau tout frais,
Mais derrière l'écran, c'est la guerre des secrets.
On jure fidélité, mais la tentation est là,
On joue au poker, on mise tout sur le « ça ira ».

(Refrain)
L'amour, ironique, un jeu de masques,
On chante des ballades, mais c'est souvent une frasque.
Des promesses gravées, mais le temps efface,
On s'accroche à l'illusion, mais elle nous dépasse.

(Bridge)
L’amour, c'est un film, avec des fausses scènes,
On applaudit à la fin, mais c’est souvent la peine.
Des serments en l'air, des rires et des pleurs,
On apprend à vivre avec cette douleur.

(Verse 3)
Les cœurs sont des livres, mais on feuillette en vitesse,
On cherche le bonheur, mais parfois c'est la liesse.
Ironie douce-amère, on sourit en cachette,
L'amour nous malmène, mais c'est ça qu'on fête.

(Refrain)
L'amour, ironique, un jeu de masques,
On chante des ballades, mais c'est souvent une frasque.
Des regards échangés, mais les cœurs font la grève,
Dans cette danse, dis-moi, qui élève ?

(Outro)
Alors on continue, malgré les faux-semblants,
L'amour en ironie, c'est notre tourment.
Avec chaque battement, on trace notre chemin,
Car au fond, l’amour, c’est un chemin incertain.

Verse 1)
Dans un monde où l'amour fait des promesses,
Les cœurs s'enflamment, mais souvent c'est une faiblesse.
Je vois des roses, mais aussi des épines,
Des mots doux murmurés, mais derrière, ça s'illumine.

(Refrain)
L'amour, ironique, un jeu de masques,
On chante des ballades, mais c'est souvent une frasque.
Des regards échangés, mais les cœurs font la grève,
Dans cette danse, dis-moi, qui élève ?

(Verse 2)
Les selfies en couple, tout beau tout frais,
Mais derrière l'écran, c'est la guerre des secrets.
On jure fidélité, mais la tentation est là,
On joue au poker, on mise tout sur le « ça ira ».

(Refrain)
L'amour, ironique, un jeu de masques,
On chante des ballades, mais c'est souvent une frasque.
Des promesses gravées, mais le temps efface,
On s'accroche à l'illusion, mais elle nous dépasse.

(Bridge)
L’amour, c'est un film, avec des fausses scènes,
On applaudit à la fin, mais c’est souvent la peine.
Des serments en l'air, des rires et des pleurs,
On apprend à vivre avec cette douleur.

(Verse 3)
Les cœurs sont des livres, mais on feuillette en vitesse,
On cherche le bonheur, mais parfois c'est la liesse.
Ironie douce-amère, on sourit en cachette,
L'amour nous malmène, mais c'est ça qu'on fête.

(Refrain)
L'amour, ironique, un jeu de masques,
On chante des ballades, mais c'est souvent une frasque.
Des regards échangés, mais les cœurs font la grève,
Dans cette danse, dis-moi, qui élève ?

(Outro)
Alors on continue, malgré les faux-semblants,
L'amour en ironie, c'est notre tourment.
Avec chaque battement, on trace notre chemin,
Car au fond, l’amour, c’est un chemin incertain.